Intérieur, de jour
Amélie mangerait des sushis dans le lit du neuroscientifique. Mais pour ça, il faudrait qu'il l'appelle.
En attendant, elle compile des données, analyse des résultats, réfléchit aux causes et aux conséquences, se questionne sur les répercussions, lit des textes abscons sur la fidélité interjuges et écrit des paragraphes qui se veulent clairs.
En écoutant du Radiohead.
Amélie va en venir à bout de son mémoire de maîtrise.
Mais d'ici à ce que ce jour mythique arrive, elle mangerait bien des sushis dans le lit du neuroscientifique. Mais pour ça, il faudrait bien qu'il la rappelle.
Et pour ça, il faudrait qu'il soit moins occupé.
Et Amélie se dit que c'est incroyable qu'elle ait rencontré quelqu'un encore plus occupé qu'elle.
dimanche 16 août 2009
Dans l'épisode d'aujourd'hui...
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4 commentaires:
Pis si Amélie appellait?
Incroyable, en effet !
...
... ..
..
Mais ce neuroscientifique, c'est le même dont je vais suivre les cours cet automne ?
Potinement parlant, il va sans dire... :DDDDD
@Drew: Oui je sais. Des amis mâles m'ont convaincue de m'abaisser à cela. Ce fut fait. Mais les résultats se sont fait attendre. Monsieur est tellement occupé qu'il ne peut me voir aussi souvent que je le voudrais. Je trouve que le monde de la business scientifique est impitoyable pour ses cerveaux.
@Morgane: Incroyable, hein! Mais trêve de potinages. Ce n'est pas le même. Mon neuroscientifique, c'est l'anglo/allemand/polonais/qui ne parle pas français même après 10 ans à Montréal. Je cherchais une étiquette représentative et comme il est un neuroscientifique à la base, avant d'être un PDG... Jamais pensé que tu les confondrais. J'avais oublié votre esprit pervers chère Morgane :D
Ne jamais, Au grand jamais sous-estimer mon esprit pervers...
L'industrie du cerveau scientifique est impitoyable, j'abonde.
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